12 décembre 2017
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Pourquoi courir de jour, sur un terrain plat et sec quand on peut aller à Montcontour ! 33 Kms dans le froid, l'humidité et la nuit, c'est bien plus fun !
" L’année dernière, il n’avait pas plu avant Moncontour, cette année si ! Autant dire que nous allions avoir du vrai Moncontour avec de la boue ! Beaucoup de boue avec des passages à s’enfoncer jusqu’aux genoux ! Nous étions 4 cette année, Jaouad, Nicolas un voisin et Stéphane un copain de Nico. Changement de distance où nous avions troqué l’habituel 22km au profit d’un 33km de nuit. Les premiers kilomètres sont étrangement roulants, cela n’annonce rien de bon car il y a 1200 m de dénivelé au programme. A partir du 20ème km, on monte, on descend dans la forêt, voila le dénivelé, ça pique les cuisses ! Les 13 derniers kilomètres vont se faire dans la souffrance mais bon on va rouler tranquille vers l’arrivée. Un passage sous la route dans la rivière avec une eau très fraîche, du bonheur avant la dernière grosse côte, ça sent la fin ! Et non, pas de bol on décroche de la côte pour repartir en forêt. Ma frontale clignote, plus de batterie. J’accélère pour lâcher mon groupe, on reprend une bosse, puis la zone marécageuse de fin, la piste d’athlétisme et enfin la ligne d’arrivée ! J’arrive exténué! Vraiment difficile ce 33km . A réserver aux initiés. La boue complique la course et courir de nuit est loin d’être facile." Steve
"Le slogan du Mesntrail à Moncontour est la nuit, le vent, la boue et on peut dire qu'il porte bien son nom ! Pour moi c'était la deuxième fois que je faisais le Menestrail (24 K), mais cette fois ci la boue était (trop) largement au rendez vous. La première partie jusqu'au mont bel air se passe plutôt bien, j'essaie de m'économiser. Ça se corse nettement plus dans les derniers kilomètres ou l'on enchaîne parties techniques et terrains très gras. Les adducteurs souffrent...et il est temps d'arriver. Je termine avec un temps de 2h20 pour une place de 73 ème/550. Plutôt satisfait du chrono, mais le corps va avoir besoin de bien se reposer." Jérome
"Sur la course dite la cambrousse, il y'avait la nuit, le froid et la boue.
Le début du parcours est roulant et ce n'est qu'au 14ème km que les choses sérieuses démarrent. Le parcours dévoile ses difficultés. Et au bout de 24km la fatigue commence à se faire sentir et les crampes avec. Il reste encore 9km avec pas mal de parties techniques. J’essaie de boire, de manger et surtout avancer car j’ai hâte que ça se termine. Et c’est vraiment avec des jambes tétanisées que je franchis la ligne d’arrivée dans la salle où l’ambiance était festive. Certes la course était très difficile à la fin mais une belle immersion quand même. Je termine 214ème sur 637 avec un chrono de 4h07’." Jaouad
Le début du parcours est roulant et ce n'est qu'au 14ème km que les choses sérieuses démarrent. Le parcours dévoile ses difficultés. Et au bout de 24km la fatigue commence à se faire sentir et les crampes avec. Il reste encore 9km avec pas mal de parties techniques. J’essaie de boire, de manger et surtout avancer car j’ai hâte que ça se termine. Et c’est vraiment avec des jambes tétanisées que je franchis la ligne d’arrivée dans la salle où l’ambiance était festive. Certes la course était très difficile à la fin mais une belle immersion quand même. Je termine 214ème sur 637 avec un chrono de 4h07’." Jaouad